Il faut vous dire que j’ai 36 ans, que je suis divorcée, et que si je couche de temps en temps, avec un mec, c’ est plus plus pour combler mes manques affectifs, que pour ma sexualité, car je n’ ai jamais été très portée sur la chose. Mes trois gosses ( 6, 8, 9 ans) ne me laissent pas trop le temps pour la bagatelle....Et ma féminité depuis le gros choc de mon divorce, je l’avais un peu oubliée. Joe, est un voisin sympa toujours prêt à rendre service, et entre les vidanges sur ma vieille 4L, les réparations sur les jouets des enfants, la machine à laver, les plombs électriques à changer, il m’ est d’ un grand secours... Lui aussi s’ est brûlé les ailes aux feux de l’ amour, et on est devenu comme frère et soeur.
Un soir, je l’ ai surpris derrière la fenêtre de ma chambre à coucher, par -6 degrés, entrain de se masturber, pendant que je me déshabillais.
Cela m’ a fait éclater de rire ! Lui était pétrifié, et moi j’ étais partagée entre le cocasse de Joe, la casquette enfoncée jusqu’ aux oreilles, le pantalon sur les chevilles, son sexe à la main, penaud comme un enfant ayant fait une grosse bêtise, et la joie qu’on puisse encore me considérer comme une femme capable de donner des idées aux hommes ! Je bondis vers la fenêtre, et dis à Joe “ ne reste pas dehors le cul à l’ air gros bêta, tu vas attraper la mort !!”Mon ton était normal, sans colère ni désapprobation, et Joe s’ en étonna : “tu m’ en veux pas ? Tu penses que je suis un salaud ? dis- moi, j’ ai honte et j’ ai besoin de savoir !”. Je le rassurais, lui expliqua que , avec tous les services qu’ il me rendait, et tout ce qu’ il faisait pour mes enfants, si de temps en temps,il voulait que je lui rende service à ma façon, je le voulais bien, et que ce serait pour moi, avec le même plaisir que lui avait à me donner un coup de main quand j’ en avais besoin. Mais je voulais que nos rapports ne changent pas, toujours en copain, sans passion ni amour pour nous pourrir la vie : “ ce sera comme quand tu viens le soir, jouer au scrabble avec les enfants.
Puis machinalement, je m’emparais de sa verge.
Elle était gelée, et avait débandée. Je me mis en devoir de la remettre en forme, et je le fis s’allonger sur le lit, et je caressais ses cuisses, surtout à l’intérieur, puis lui malaxais les couilles et quand je vis sa bite bien raide et bien violette, je m’emparais de la tige, et quelques coups de poignet suffirent pour que Joe, lache de longs jets de sperme épais,qui lui arroserent le ventre. Puis aussitôt je filais à la salle de bain, pour me rincer les mains, et en revenant , trouvant Joe, en travers de mon lit, je lui reprécisais, que maintenant je voulais me coucher, et qu’ il fallait qu’il s’en aille. Voilà comment s’instaurèrent mes rapports sexuels avec Joe, comme un service de bon voisinage! Il essaya bien à plusieurs reprises de me prendre vraiment, mais je n’ en avais pas envie, je ne voulais même pas qu’ il touche mon corps, lui comme un autre homme, mais encore plus lui : ces masturbations étaient pour moi un service rendu, et je ne les considérais pas du tout comme un acte sexuel.
Maintenant Joe, était à l’aise, et il me disait le plus simplement du monde, je voudrais bien me vider les couilles
je le regardais en souriant, et quoi que j’étais entrain de faire, je lui répondais, vas sur le lit, prépares-toi, je fini ça et j’ arrive ! Et ça se passait aussi simplement et sainement, que si il me demandait de coudre un bouton ! Et je crois que c’ est de ça dont j’ avais besoin : de désacraliser la relation sexuelle, après tout, c’ est un besoin aussi naturel que de manger, pisser, dormir... Quel besoin d’en faire tant de pataquès ? Et le fait que Joe, accepte cette façon naturelle de venir se faire branler, et de repartir, en me disant juste merci, m’ aida à considérer la relation sexuelle, comme un besoin naturel, et pas comme un acte sacré. Dans le même temps, je redevins coquette, je m’ occupais à nouveau de moi, et les branlettes que je faisais à Joe, devinrent moins “innocentes” je m’appliquais pour bien l’ exciter, je me régalais à voir réagir son sexe sous mes caresses, et cela commença à m’ exciter de plus en plus, au point que ça me manquait quand tout une semaine passait sans que Joe vienne se faire “ traire ”, comme il dit !
A mon corps défendant, petit à petit, avec le sexe de Joe dans la main, ma libido se réveilla, et des idées de plus en plus libidineuses envahirent mes nuits.
cette relation, aussi bizarre soit-elle, eut pour effet de remettre entrain ma libido : je me mis à faire des rêves érotiques, je jouis même une nuit en rêvant, et je crois bien que c’ était la première fois de ma vie et ce fut une telle révélation, que je me masturbais aussitôt pour en avoir confirmation. Puis au petit matin, alors que les enfants avaient prit le car pour l’école, comme Joe passait devant chez moi sur son tracteur, je l’appelais, retroussais mes jupes, et lui montrais comment je me branlais, il ne me laissa pas finir, sa bouche vint se coller sur ma chatte, et j’ eu envie moi aussi de téter sa queue,et c’est ainsi que pour la première fois de ma vie je jouis avec un homme, et un homme me jouit dans la bouche.
Tout s’ enchaîna alors très vite, le soir même je demandais à Joe de venir, et je fis l’amour par envie, et jouis sur la queue d’un homme pour la première fois. Et depuis avec Joe, on est comme des enfants, lui à 52 ans, moi à 36, et c’est comme ça qu’en descendant à Toulouse, alors qu’ on avait deux heures devant nous avant de reprendre le train, il m’entraîna dans une salle de cinéma,où il ne passe que des films pornos. C’était permanent, et en rentrant dans la salle obscure, je ne vis que peu de monde, on s’ installait donc face à l’écran, et joe aussitôt se mit à farfouiller sous mes jupes.
De belles queues étaient en plein écran, et une jolie fille s’occupait seule d’une dizaine de bites.
Je fus très vite excitée, d’ autant plus qu’ au repas pris au restaurant à midi Joe m’avait demandée de quitter ma culotte, ce que j’avais fait ! Et ce cochon avait donc libre accès à ma chatte, et deux de ses doigts faisaient des ravages dans mon intimité. En tournant un peu la tête, je m’aperçu que tous les mecs qui étaient dispersés sur dans la salle s’ étaient tous agglutinés autour de nous. Devant moi, me masquant l’ écran, je ne tardais pas à voir quatre bites, tendues vers moi. Je tapais sur la tête à Joe, pour l’avertir, car je n’ étais pas rassurée, il me fit signe que tout allait bien.
Il avait le don de me sécuriser, et si lui trouvait la situation normale... Ses glands qui luisaient dans la pénombre, m’ excitaient de plus en plus, et la langue de Joe, faisait que j’ étais au bord de l’extase. Un autre qui était derriere moi, s’empara de mes seins, passa sous mon corsage, souleva mon soutien gorge pour atteindre mes seins ... Un autre approcha un magnifique gland de ma bouche et je le gobais à la vitesse de l’ éclair, m’ emparant de ces grosses couilles. Joe se releva sorti son sexe qu’ il me donna à sucer et se pencha pour me dire, ”si tu as envie, laisses-toi aller, tu verras tu ne le regretteras pas !” Pendant ce temps quelqu’un avait remplacé Joe entre mes cuisses et me bouffait délicieusement la foune.
Je sentis un sexe glisser lentement entre mes cuisses sans même savoir à qui il appartenait, et ça m’ excitait !!
je sentis un sexe farfouiller à l’entrée de ma chatte, puis s’insinuer progressivement au fond de mon ventre... Cela m’ excitait terriblement de me faire baiser et je ne savais même pas par qui ... Puis maintenant une forêt de bites m’entouraient... Combien je ne saurai le dire, je suçais tout ce qui passait à portée de ma bouche, et entre mes cuisses, je ne sais pas combien ont-ils été à s’y enfoncer. Plus de 10 d’ après Joe, mais son enthousiasme le fait certainement exagérer, toujours est-il que j’ai drôlement aimé çà, et que je sais maintenant que contrairement à ce que disait mon ex, j’ aime le cul et à partir de maintenant, je vais en profiter, car comme dit Joe, pour des gens modestes, c’ est le seul luxe qui nous est permis !!