Nous ne nous lassons pas de faire l’amour, de nous donner du plaisir réciproque, de varier nos techniques et d’expérimenter de nouvelles façons de nous exciter. Avant de connaitre Julien j’étais complexée de mon corps. Mon ventre et mes fesses ont un petit matelas de graisse, que certains jugeraient superflu, et ma poitrine est plutôt généreuse. J’avais l’impression que jamais je n’oserais me mettre nue devant un homme, je me trouvais épaisse, trop grosse. J’avais toujours pensé que les hommes qui étaient attirés par moi, me “consommaient”, mais ne me jugeaient pas très sexy. Ce n’est pas le cas de Julien, il aime mon corps de la tête aux pieds, et ne veut surtout pas que je perde un kilo !
Notre fringale sexuelle, ne nous a jamais fait perdre 1 gramme !
Nous sommes le plus heureux des couples, et après 6 ans de mariage, nos relations sexuelles sont comme au premier jour. Mais un jour Julien a été hospitalisé, rien de très grave, mais j’étais très inquiète. Ses caresses me manquaient beaucoup et je me sentais frustrée par l’interruption de notre vie sexuelle. Le 2° jour suivant son opération, il me dit : “Moi, je me sens trop patraque pour faire l’amour, mais toi, ça doit te manquer terriblement !” Il était dans une chambre à deux lits et profitant que son voisin dormait, il souleva ma jupe, écarta ma culotte et se mit à me caresser, il me fit jouir. Mais le soir, cette petite masturbation à la sauvette m’avait encore plus excitée et je n’arrivait pas à m’endormir. Le lendemain il me dit en souriant : “ Tu sais, j’ai beaucoup réfléchi.. Je suis encore ici pour un moment, alors, j’ai pensé que tu devrai prendre un amant ”. Surprise mais pas choquée , je lui répondis que je ne me voyais pas faire l’amour avec un autre homme que lui, alors qu’il était à l’hôpital. Mais il insistait, et je sentais que cela l’excitait. Et son idée me plaisait de plus en plus. Il rajouta pour me convaincre : “Téléphones à Sophie, je suis sûre qu’elle t’arrangera ça !”Sophie était une amie d’enfance et une amie intime, son plus grand plaisir était de changer de partenaire le plus souvent possible, c’est elle qui nous a fait connaitre les couples échangistes que nous avons rencontrés. Je lui passais un coup de fil de l’hôpital, 3h plus tard elle me recevait chez elle. “Tu ne peux pas mieux tomber”, me dit-elle “j’ai 2 jeunes étudiants pour toi, dès ce soir !”. Stupéfaite je lui réponds : “deux!”. “Oui, tu ne vas pas me dire que ça te fait peur !, je les connais par coeur, ils sont toujours partants” J’étais d’accord. Plus je pensais à cette nouvelle expérience, plus ça m’excitait ! Et puis pour remplacer Julien il en fallait bien deux ! Je quittais Sophie en promettant de tout lui raconter ( et à Julien aussi). A neuf heures pile, on sonna. C’était eux.
Chris et Phil me parurent encore plus jeunes que je ne l’imaginais. Ils étaient beaux tous les deux, bien bâtis. Je découvris rapidement que Sophie ne s’était pas trompée en me disant que c’était des chauds lapins. Chris me passa le bras autour de la taille, Phil me caressait les fesses à travers le fin tissu de ma robe. Je pensais qu’avant nous aurions le temps de bavarder , mais non ! Dès le début ils me parurent très sûr d’eux, un peu trop à mon goût ! Je me sentais brûler de partout.
Je verrais bien si au lit, ils sont capables....
Bien loin de jouer les coquettes je leur fit comprendre que j’étais aussi pressée qu’eux, j’avais envie de soulager cette frustration qui s’était amassée en mon corps! J’ouvris d’une main ferme la braguette de Chris. Il me prit les seins, pendant que j’extirpais de son slip, son membre en demi-érection. Quelques caressent suffirent à lui donner toute sa vigueur. Comparé à celui de Phil, le sexe que j’avais dans la main était modeste. Mais il est stupide de vouloir mesurer les capacités sexuelles d’un homme aux dimensions de son engin ! Tout le monde ne peut pas tout avoir, comme Julien ! Ces quatre mains qui pétrissaient mon corps me faisaient monter le désir. C’était bon et prometteur de sentir la rigidité de Chris entre mes doigts. Sans un mot, Phil fit glisser la fermeture éclair de ma robe et dégrafa mon soutien-gorge, aussitôt il s’empara de mes deux globes généreux. Je leur dis que nous serions plus à l’aise dans la chambre. En montant l’escalier, Phil glissait ses doigts entre mes fesses. L’idée manquait de délicatesse, mais fit monter de plusieurs degrés le feu qui me dévorait entre les cuisses. Arrivée dans la chambre je m’étendis sur le lit, Phil s’allongea sur moi et me couvrit de baiser tout en bougeant son sexe dans ma main. Chris cherchait à atteindre mon entre-cuisse, je me dégagea un peu, Chris fit glisser ma culotte, déjà toute mouillée d’excitation. Dès que mon sexe fut à l’air libre, j’écartais les jambes et Chris mordilla l’intérieur de mes cuisses et ma chatte. Phil léchait le bout de mes seins. Je m’abandonnait, les yeux fermés, aux délicieuses sensations que ces deux garçons me procuraient. Je me rendis vaguement compte qu’ils se déshabillaient. La langue de Chris frétillait sur mes petites lèvres et je sentis près de mon visage la chaleur de la verge de Phil. Je n’eu qu’à tourner la tête pour la prendre dans ma bouche gourmande. Chris se mit de l’autre côté de mon visage, pour profiter aussi de ma bouche goulue. Je les suçais tour à tour....
Deux queues à la fois.... l’une dans ma bouche, l’autre dans ma main. Mes caresses des deux côtés prirent un rythme de plus en plus rapide. J’ouvris les cuisses au maximum, les genoux relevés. Du bout des doigts Phil écarta mes petites lèvres et pointa sa langue dans l’orifice humide. Chris, lui s’excitait sur mes seins. Je repris le sexe de Phil dans ma bouche, avec ma langue active je caressais toute la longueur de son sexe. Chris , à son tour titillait mon sexe avec sa langue habile.... Mon bassin bougeait de plus en plus vite et soudain, un énorme orgasme m’envahit brusquement, lourd d’une semaine d’attente, mon corps se tordit de plaisir et je poussais plusieurs cris, étouffés par le sexe de Phil. Mon plaisir fut d’autant plus fort, que quelques instants plus tard, au plus fort de ma jouissance, Phil déchargea un liquide brûlant dans ma bouche.
Cramponnée à son corps, je pris ses fesses à pleines mains
Je le suçais jusqu’à la dernière goutte. Mon appétit n’avait pas diminué pour autant. heureusement j’avais encore Chris sous la main. Je laissais Phil récupérer et me mis à genoux au-dessus de Chris, lui souriant, je pris son membre à la base et l’introduisit dans ma fente. Je m’empalais lentement sur lui, tout en remuant au-dessus de lui, pour frotter son sexe contre les parois de mon vagin. Prenant appui sur mes deux mains, de part et d’autre de ses épaules, j’inclinais mes seins vers son visage. Il se mit à les lécher à grand coups de langues. Phil était derrière moi, il mouilla ses doigts et caressa le pourtour de mon anus, c’était divinement bon ! Soudain, je sentis le sexe de Chris se gonfler en moi, il partait sans moi....
Le visage enfouit entre mes seins, il se mit à jouir... Je sentis une liqueur chaude m’envahir le ventre. j’avais savouré chaque instant, mais j’étais loin d’avoir eu mon compte ! Au moment même où mon plaisir commençait à monter, le membre de Chris se mit à diminuer rapidement, je ne le sentais plus du tout en moi. Je fis sortir son sexe du mien, et me laissais tomber sur le dos, à côté de lui, en attirant Phil entre mes cuisses et en espérant qu’il aurait retrouvé ses forces ! J’eus la joie de le sentir bien dur dans ma vulve. D’un coup de rein, je l’enfonçais tout en moi. Bien qu’il domina mon corps, c’était moi qui dirigeais les opérations. Tout en bondissant sous lui à grands coups de pubis, je lui tripotais les couilles et les frottais contre mes fesses . Je caressais son anus, les yeux fermés, le visage en sueur, il commençait à gémir...
Un deuxième orgasme, brûlant, me secoua de la tête aux pieds. je pris la tête de Phil à deux mains et j’attirais sa bouche contre mes seins. Son sperme jaillit en moi au moment même où j’enfonçais mon doigt dans son anus. Nos cris se mêlèrent. Mon orgasme dura une éternité et j’effectuais, avec mon bassin, un mouvement rapide de rotation autour du membre qui se vidait en moi. Phil retomba sur moi mollement. Mais, je me sentais en pleine forme et j’avais encore envie d’avoir un membre bien raide et bien vigoureux dans mon sexe en feu ! Je repoussais doucement le garçon sur le lit, et les cuisses toujours écartées, je fis signe à Chris de venir. Son sexe n’était pas encore en pleine forme, je dus m’occuper de lui pendant 10 bonnes minutes et finalement il m’attira sur lui, tête-bêche et plongea son nez entre mes cuisses. Ce fut radical, je sentais son gland bien dur au fond de ma bouche. il me pris par derrière agenouillée sur deux oreillers.
Phil se glissa sous moi, pendant que son copain me besognait...
Chris tint bon, cette fois, et Phil aidant, j’eus un troisième orgasme et un quatrième, presque coup sur coup. Plusieurs fois, Chris caressait mon anus, sans me pénétrer. Ca ne m’aurait pas déplu, mais je n’ai pas insisté, préférant garder ce privilège pour mon mari. Mais quand il se mit à jouir, Chris y enfonça son pouce, déclenchant chez moi une cinquième et dernière jouissance. Je me laissais retomber sur le dos, apaisée, heureuse.... Ils caressèrent, doucement, mon entre- cuisse inondé de sperme et couvrirent mon corps de petits baisers. J’étais toute fraîche, rayonnante, alors qu’ils étaient visiblement vidés, tous les deux, dans tous les sens du terme ! Je passais une bonne nuit et dormis profondément en pensant à la réaction de Julien, demain, lorsque je lui raconterai tous les détails de cette aventure.....
A neuf heures je me levais, me maquilla, m’habilla légèrement sans string sous ma fine robe et fila à l’hôpital. J’avais hâte de voir Julien. Julien m’attendais, assis sur son lit, encore en convalescence, et m’interrogea tout de suite sur cette soirée. je lui expliquais tout en détail sans rien oublier, et glissais en même temps ma main sous les draps pour lui caresser le sexe. Je le sentais durcir au fur et à mesure que je lui racontais mon aventure. Il était seul dans la chambre son voisin était parti ce matin. Je sentais son excitation monter et la mienne venir. Il passait sa main sous ma robe, m’écartant la fente avec deux doigts....
Il enfonça un doigt dans ma chatte humide et se mit à me pistonner.... Ma main accélérait le mouvement, je le sentais se cabrer, tout en me traitant de salope ( dans sa bouche s’était un compliment). Il me disait que cela l’excitait énormément... Je sentis la jouissance m’envahir et au même moment Julien déchargea dans ma main....Il me dit “Vivement que je sois bien rétabli pour t’en foutre une bonne pétée”. Ma mouille dégoulinait le long de mes jambes rien qu’en y pensant, j’avais hâte de retrouver mon Julien et de le sentir en moi....
Agnès du 38.