Du jour au lendemain seule, réapprendre à montrer que l’on est disponible, sortir, c’est pas évident. Mais bien vite, je rencontrai des garçons qui tous voulaient me mettre le grappin dessus. Mais de cette mésaventure, j’avais décidé de prendre du recul et de vivre en fille libre, ayant des pulsions, aimant se masturber, aimant faire l’amour.... je prenais des amants tous plus beaux les uns que les autres....Le désir ne peut exister chez moi que si l’homme me plaît vraiment. Mais récemment il m’est arrivé une histoire qui vaut le coup d’être racontée, je pense.... C’est pourquoi je l’envoie à la revue. J’avais un rendez-vous pour un travail avec un directeur de société, la soixantaine, chauve, rouge de figure, ventru, bref, rien d’un séducteur, tout du gros cochon ! Un bureau digne de la grosse société qu’il préside, mais je ne donne pas trop de détails, des fois que mon patron lise ces lignes !!! Pendant que je lui présentais mon produit, je le voyais se contorsionner pour mater mes jambes gainées de bas couleur chair, je portais un tailleur stricte, la jupe étant assez courte, et ça lui faisait un effet boeuf ! Petit à petit il se mit à me complimenter sur ma tenue. il fût interrompu par sa secrétaire qui partait manger. Je compris que je me trouvais seule avec lui dans les locaux. Curieusement, cet homme qui avait presque 3 fois mon âge, qui faisait vicieux au possible, m’excitait, et je me prêtais au jeu qu’il me faisait jouer. Quand il me demanda si c’était des collants que j’avais sous ma jupe, je lui répondis que non, que je mettais toujours des bas et des porte-jarretelles. Ma réponse eu l’effet d’un coup de turbo, je le voyais de plus en plus lubrique, et qu’il soit vieux, chauve, gros m’excitait encore plus. Quand il me demanda s’il pouvait voir mes dessous, je ne fis aucune difficulté pour ouvrir la veste de mon tailleur , et lui monter ma poitrine pigeonnante dans un soutien gorge en satin écru, sa main effleura mes seins, je sentais son souffle court. Il descendit sa main vers mes jambes, en s’agenouillant devant moi, qui était toujours assise, et sa main glissa sur mes jambes. J’immobilisais sa main et lui dis d’une voix ferme qui le surprit : ”Si vous voulez qu’on joue ensemble, alors c’est en suivant mes règles”. Aussitôt je dégrafais ma jupe et me retrouvais en porte-jarretelles...une aventure2 Je m’asseyais sur le bord du bureau et lui fis signe de venir me caresser. toujours à genoux, il glissa ses mains sur mes cuisses, monta à la lisière des bas, caressant la chair de mes cuisses nues, puis se dirigea vers le bombé de mon string; Prenant moi-même le bord de mon slip, je l’écartais pour libérer ma chatte humide, et lui dis : “je veux que vous me fassiez jouir en me suçant”. n’en croyant pas ses oreilles il ne perdait pas de temps pour venir coller sa bouche sur ma chatte. le contact me fit me cambrer. j’étais une salope qui se faisait sucer par un vieux cochon, dans un bureau, quelqu’un pouvait entrer d’un moment à l’autre. Il me mangeait la chatte à pleine bouche, je sentais sa langue titiller mon clitoris tout gonflé de plaisir, j’attrapais sa tête chauve avec mes deux mains pour mieux la plaquer sur mon sexe et me mis à onduler du bassin en me cambrant pour lui offrir mon sexe à sucer. Je bougeais comme une folle sur le bord de son bureau, en tenant toujours sa tête entre mes cuisses.En quelques minutes un orgasme foudroyant se déclencha, je serrais de plus en plus sa tête, cet orgasme ne s’arrêtait plus.... puis je me relevais alors qu’il avait sorti son sexe et je lui dis :”Pour la suite, ce sera peut-être la prochaine fois !”Si mon histoire vous a émoustillé, j’en suis ravie, mais ne croyez pas que cela m’arrive à chaque rendez-vous d’affaire !